16 septembre 2016
Au-delà des facteurs génétiques et sociodémographiques, les cas de surcharge pondérale et de forte surcharge (adiposité) sont dus principalement à une alimentation déséquilibrée et une activité physique insuffisante. Il s’ensuit que la lutte contre le surpoids ne peut être menée que dans le cadre d’une approche globale. Dans ce sens, un impôt sur les boissons rafraîchissantes n’amène rien. Une large majorité des citoyennes et des citoyens suisses partagent ce point de vue, comme le montre le troisième sondage Alimentation et activité physique. C’est un constat rassurant car la situation économique est actuellement difficile. Dans ce contexte, des conditions-cadre claires et fiables sont essentielles pour le secteur des boissons rafraîchissantes.
Marcel Kreber, Secrétaire du groupe d’information Boissons rafraîchissantes
Document
Newsletter Groupe d’information Boissons rafraîchissantes (09.2016, PDF)